Bernard Werber
Les fourmis
Science-fiction
1991
313 pages(édition de 2008)
Résumé: Pendant les quelques secondes nécessaires pour lire cette seule phrase vont naître sur terre quarante humains mais surtout sept cents millions de fourmis. Depuis plus de cent millions d'années avant nous, elles sont là, réparties en légions, en cités, en empires sur toute la surface du globe. Iles ont créé une civilisation parallèle, bâti de véritables royaumes, inventé les armes les plus sophistiquées, conçu tout un art de la guerre et de la cité que nous sommes loin d'égaler, maîtrisé une technologie stupéfiante. Elles ont leur propre Attila, Christophe Colomb, Jules César, Machiavel ou Léonard de Vinci. Le jour des fourmis approche. Le roman pas comme les autres nous dit pourquoi et nous plonge de manière saisissante dans un univers de crimes, de monstruosités, de guerres tel que nous n'en avons jamais connu. Au-delà de toute imagination. Il nous fait entrer dans le monde des infra¬terrestres. Attention où vous mettrez les pieds. Après avoir lu ce roman fascinant, vous risquez de ne plus regarder la réalité de la même manière.
Voilà, début d'année dingue-de-livres organise une LC sur ce tome! Je me dis intéressée, mais ne possède pas le livre, ce qui m'amène à me retirer mais à toujours être intéressée à le lire dans l'année! Et voilà que grâce à mirage664, je le reçois en swap! Je l'ai donc lu en ce mois de juillet et même si j'ai trouvé le style de Werber agréable, je trouvais les chapitres longuets.
Après tout, le premier ne fait que près de 100 pages. J'ai trouvé le concept original, mais vers la fin, les détails d'organisation des fourmis commençaient à me lasser. Cependant, j'ai aimé le mystère de la cave intéressant, bien que long à se résoudre. Jusqu'à la moitié, je n'éprouvais pas de difficultés avec les numéros et les relations, mais par la suite, je devais me concentrer davantage. Bref, ça fait un petit moment que j'ai terminé cette lecture et j'ignore quoi en dire exactement puisque j'ai apprécié, sans adorer et que ce sont souvent ces livres avec lesquels j'ai le plus de difficulté à chroniquer. J'ai apprécié les morales qui sont disséminées un peu partout sur nos relations et en particulier la citation suivante:
La nature hait l'uniformité et aime la diversité. C'est là peut-être que se reconnaît son génie.Ce livre a été lu dans le cadre des challenges :
Je dois le lire prochainement, l'ayant emprunté à ma bibliothèque :)
RépondreSupprimerJe l'ai lu au mois de juin et j'ai bien aimé ce roman pour son originalité. Ceci dit, c'est effectivement un peu lassant à la longue, je ne pense pas lire la suite pour l'instant. :-)
RépondreSupprimerMerci pour vos passages :) Je crois que je vais lire la suite, mais pas bientôt!
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